OpenStreetMap

OpenStreetMap (OSM) est un projet qui a pour but de constituer une base de données géographiques libre du monde (permettant par exemple de créer des cartes sous licence libre), en utilisant le système GPS et d’autres données libres. Il a été initié en par Steve Coast au University College de Londres1. Par l’utilisation de moyens informatiques basés sur Internet qui permettent l’intervention et la collaboration de tout utilisateur volontaire, OpenStreetMap relève de la géomatique 2.0 et est aussi une contribution à ce qui est appelé la néogéographie, dont les outils composent le GeoWeb.

OpenStreetMap est bâti par une communauté de cartographes bénévoles qui contribuent et maintiennent les données des routes, sentiers, cafés, stations ferroviaires et bien plus encore, partout dans le monde.

Connaissance locale

OpenStreetMap encourage et met en avant la connaissance locale du terrain. Les contributeurs utilisent l’imagerie aérienne, les récepteurs GPS et les cartes classiques du terrain pour vérifier qu’OSM est exact et à jour.

Conduit par la communauté

La communauté d’OpenStreetMap est diverse, passionnée et grossit chaque jour. Nos contributeurs incluent des cartographes enthousiastes, des professionnels du SIG, des ingénieurs qui font fonctionner les serveurs d’OSM, des humanitaires cartographiant les zones dévastées par une catastrophe et beaucoup d’autres. Pour en savoir plus sur la communauté, consultez le blogue OpenStreetMap, les annuaires d’utilisateurs, les blogues communautaires et le site web de la Fondation OSM.

Données libres

OpenStreetMap est en données ouvertes : vous êtes libre de l’utiliser pour n’importe quel but tant que vous créditez OpenStreetMap et ses contributeurs. Si vous modifiez ou vous appuyez sur les données d’une façon quelconque, vous pouvez distribuer le résultat seulement suivant la même licence. Consultez la page sur les droits d’auteur et licence pour plus de détails.

Partenaires

L’hébergement est pris en charge par L’ »University College » de Londres, Hébergement Bytemark, le Collège impérial de Londres et d’autres partenaires.